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090 _a1816
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200 _aPour la Science
_eDossier hors-série n°49, octobre-décembre 2005
_bPERI
210 _aParis
_cPour la Science
_d2005
215 _a120 p.
225 _aPour la Science
_eDossier hors-série
_v49
345 _a1
545 _hp.108-112
_fDELAHAYE J.-P.
_iOn se sacrifie...pour nuire aux autres ! : En théorie des jeux et en économie, on suppose que chacun est rationnel. Or, souvent l'attrait du gain est moins fort que le souci d'égalité
545 _hp.113
_fBOULANGER P.
_iJouer le meilleur coup ? : Dans les jeux et les choix de la vie, préoccupez-vous de la force de votre adversaire ou de sa générosité, sinon vous perdrez " logiquement "
545 _hp.114-120
_fDUBOIS D., PRADE H.
_iTraiter le flou et l'incertain : Dans les situations réelles, nos informations sont incomplètes et nos avis nuancés. La logique floue et la logique possibiliste simulent convenablement le raisonnement humain dans ces cas de figure
545 _hp.13
_fGOURINAT J.-B.
_iLes stoiciens et les opérateurs logiques : Un risonnement est un enchaînement de propositions. Quelles règles doit-il respecter ?
545 _hp.14-20
_fBOQUIN D., CELEYRETTE J.
_iL'argumentation au Moyen Age : la logique, au moyen age, est un art de la persuasion, de l'explication, notamment du message divin. Dans ce contexte religieux, les logiciens médiévaux posent de grandes questions, reprises et formalisées à l'époque contempraine
545 _hp.22-23
_fBOQUIN D., CELEYRETTE J.
_iGuillaune d'Ockham et le nominalisme : Ockham appuie la logique sur une théorie du signe et sur une position " nominaliste " dans la question des " universaux "
545 _hp.24-29
_fATTEN M.V.
_iBrouwer et godel : deux frères ennemis : leurs conceptions philosophiques les opposaient, mais tous deux s'appuyèrent sur elles pour fonder une logique et des mathématiques modernes
545 _hp.2-5
_fDUBUCS J., SANDU G.
_iLa logique, fil d'Ariane du raisonnement : Inventée par les grecs de l'Antiquité, la logique a gardé une identité unique juqu'au XIXe siècle, ou elle prit une voie plus mathématique. Aujourd'hui elle explore les multiples facettes du raisonnement, l'une d'elles étant le psychologie des acteurs
545 _hp.30-35
_fMIQUEL A.
_iL'intuitionnisme : ou l'on construit une preuve : le raisonnement par l'absurde n'est pas constructif ! La logique intuitionniste, au contraire, relie preuve construite et calcul
545 _hp.38-43
_fDELAHAYE J.-P.
_iDémonstrations et certitude en mathématiques : prouver sans écrire de démonstration est un jeu, mais c'est aussi l'occasion de réfléchir à la certitude mathématique
545 _hp.45-50
_fEGRE P.
_iL'analyse logique des langues naturelles : Conçue pour mener des raisonnements sous forme de calculs et remédier aux imperfections du langage ordinaire, la logique formelle constitue aujourd'hui l'une des clefs de l'analyse des langues naturelles
545 _hp.51-53
_fENGEL P.
_iLa logique de ce qui n'existe pas : Qu'est-ce que l'existence en logique ? Que peut-on dire des êtres de fiction ? Des logiques non classiques, dites libres, redéfinissent l'existence
545 _hp.54-59
_fSANDU G.
_iLa quête du sens et de la vérité : quel sens donner aux énoncés ? Qu'est-ce que la vérité ? Peut-on analyser la logique par la logique sans tomber dans des paradoxes ? La solution consiste à s'extraire du langage en définissant un métalangage
545 _hp.60-61
_fBAILHACHE P.
_iVoyager dans les mondes possibles : comment tient-on compte, en logique, du possible, du nécessaire, du contingent ?
545 _hp.62-67
_fBAILHACHE P.
_iLe droit peut-il être automatisé ? : Le raisonnement juridique s'appuie sur la description de l'obligatoire, du permis et de l'interdit. Récemment on a amélioré sa formalisation en prenant en compte l'identité des acteurs et la chronologie des actions
545 _hp.69-73
_fBENTHEM J.V.
_iL'art et la logique de la conversation : définie comme un calcul, la logique réduit le raisonnement à un processus solitaire. En revanche, quand elle s'intéresse à la conversation, la logique rend le raisonnement dynamique et décrit diverses manières d'échanger l'information
545 _hp.7-11
_fGOURINAT J.-B.
_iLes grecs jouèrent avec la dialectique, mais se livrèrent aussi à une analyse du raisonnement : syllogistique et règles de déduction apparurent dans les écrits d'aristotes et de chrysippe
545 _hp.74-79
_fWALLISER B.
_iCroyances en théorie des jeux : nous voulons jouer de manière retionnelle dans des situations ou les données sont claires. Pour cela, nous devons traiter l'information sous une forme logique. Comment ?
545 _hp.80-86
_fDUBUC J.
_iLa connaissance interactive : pour représenter l'accès au savoir et son évolution dans un groupe, la logique de la connaissance s'est élaborée sur la notion de " mondes possibles " et sur le savoir que l'on a du savoir des autres
545 _hp.87-89
_fRAHMAN S., KEIFF L.
_iLa preuve par le dialogue : on peut jouer à polémiquer ! Les échnages d'arguments et d'information respectent certaines règles ...Comme dans un jeu
545 _hp.90-95
_fZWIRN D., ZWIRN H.
_iLa révision des croyances : Nous modifions sans cesse nos croyances lorsque nous sommes confrontés à des informations contredisant ce qui nous semblait acquis. Les logiciens ont développé des théories qui formalisent ces mécanismes
545 _hp.97-101
_fLEITGEB H.
_iRéseaux de neurones capables de raisonner : les premiers réseaux de neurones effectuaient des calculs logiques éloignés des raisonnements humains. Grâce à la logique monotone, les nouveaux décrivent mieux le fonctionnement de la pensée
545 _fPOLITZER G., BONNEFON J.-F.
_iNos raisonnements de tous les jours s'écartent de la logique classique. La raison tient à l'usage d'une mémoire, dite de travail, à capacité limitée, à l'interprétation parfois ambigue des énoncés et à des sous-entendus contenus dans nos déclarations quotidiennes
610 _aSCIENCES
801 _aTN
_bBIB.CEC
_c20090410
_gUNIMARC