| 000 | 05232 a2200397 4500 | ||
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| 001 | 1860 | ||
| 005 | 20251118152119.0 | ||
| 090 | _a1860 | ||
| 100 | _a20150504 frey50 | ||
| 101 | _afre | ||
| 110 | _ay 100zd | ||
| 200 |
_aScience et Vie _eHors série, n°217, décembre 2001 _bPERI |
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| 210 |
_aParis _cScience et Vie _d2001 |
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| 215 | _a160 p. | ||
| 225 |
_aScience et Vie _v217 |
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| 345 | _a1 | ||
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_hp.10-11 _fDEVILLAINE V. _iUn protocole bien rodé : l'expérience de Pavlov sur le conditionnement des chiens est restée célèbre. Loin d'être oublié, le principe est encore d'actualité dans certains laboratoires de recherche neurologique |
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_hp.105-107 _fPADIOLEAU A. _iLe point de bascule |
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_hp.12-17 _fBORRELLI E., COLIN L., WELTER M. _fLa dopamine dans tous ses états : Plaisir et dépendance provoqués par l'usage de drogues empruntent les mêmes circuits neuronaux de récompense. Avec pour support une molécule, la dopamine |
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_hp.17-24 _fCHAIROPOULOS P., KIEFFER B. _iLes entrées privées des opiacés : Les opiacés ( opium, morphine...) ont, dans notre cerveau, des récepteurs tout trouvés. Ceux-là mêmes qui, normalement, se lient à des messagers internes pour apaiser les douleurs, réduire le stress...On a étudié le rôle d'un de ces récepteurs dans l'analgésie et l'addiction |
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_hp.25-29 _fMARIE-CLAIRE C. _iLes gènes en ligne de mire : Connaître les cibles physiques des drogues ne suffit pas pour en expliquer les effets. Les nouveaux outils de la biologie moléculaire ont été à l'origine de nombreuses avancées |
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_hp.30-35 _fDEBROISE A. _iAlcoolisme : la part cachée de l'héritage : Certaines familles sont plus sujettes que d'autres à l'alcoolisme. Et si l'environnement reste le facteur premier dans le développement de la maladie, des études montrent que la vulnérabilité génétique à l'alcool existe |
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_hp.36-39 _fDEVILLAINE V. _iDes gènes sous l'emprise de la cocaine : S'il est bien connu que la drogue affecte notre système nerveux, on sait moins qu'elle agit aussi sur nos gènes. Ce nouvel axe de recherche, aujourd'hui en pleine expansion, s'aide des technologies les plus pointues |
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_hp.40-45 _fGIROS B. _iDes transporteurs à ne pas bloquer : Première cible des psychostimulants, font depuis dix ans l'objet de recherches actives. On comprend mieux aujourd'hui leur rôle dans les mécanismes associés à la dépendance |
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_hp.46-51 _fBESSON M.-J. _iDes adaptations néfastes : Pour répondre à l'action des drogues, notre organisme a développé des mécanismes |
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_hp.4-8 _fROQUES B. _iVers un modèle unique : Tabac, alcool, cocaine, héroine...On sait aujourd'hui que toutes les drogues agissent, dans notre cerveau, selon un même principe. Elles détournent à leur profit des cibles destinées à accroître la libération de dopamine : la molécule naturelle du plaisir |
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_hp.54-59 _fHERVE D. _iDans les fillets de l'ecstasy : La soi-disant " pilule de l'amour " est plus dangereuse qu'il n'y paraît. Agissant sur nos neurones à sérotonine, elle les vide de leurs réserves de neurotransmetteur et les dégrade. Irréversiblement |
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_hp.60-66 _fDEBROISE A. _iLes liaisons fortesde la nicotine : Les études sur la dépendance au tabac ont fait la part belle à la nicotine. On connaît bien aujourd'hui les récepteurs auxquels elle se lie et les mécanismes qu'elle enclenche. Mais la molécule aurait une face cachée |
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_hp.68-73 _fVENNETIER P., LEFEVRE A. et DEBROISE A. _iLes drogues à corps perdu : Suées, bouche sèche, coeur battant : Ce sont les effets les plus immédiats et les plus visibles de la consommation de drogues. Qui étendent aussi leurs méfaits dans tous l'organisme. A l'intérieur, le corps souffre |
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_hp.74-79 _fROBERT A. _iQuelles molécules pour décrocher : Comment traiter la dépendance, aider le sevrage ou empêcher de replonger ? L'approche moléculaire semble pouvoir apporter une multiplicité de réponses. Après les médicaments de substitution, on développe aujourd'hui de nouvelles molécules qui modifient l'action et l'effet des drogues sur le cerveau |
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_hp.82-86 _fBLANCHART J. _iRats toxicomanes : des modèles presque parfaits ? : De la molécule au comportement, l'expérimentation animale entre dans toutes les échelles d'étude de l'addiction. Mais jusuq'où peut-on assimiler le cocainomane à un rat qui prend de la cocaine ? |
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_hp.88-95 _fLOWENSTEIN W. _iDe la toxicomanie à l'addiction, concepts d'hier et d'aujourd'hui : On les considérait autrefois comme des malades. On les perçoit aujourd'hui comme des consommateurs à protéger d'eux- mêmes et de leur environnement. Les définitions, qui ont changé au fil du temps, reflètent bien la complexité du sujet |
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_hp.96-103 _fMONNIER E. _iSoigner plutôt que réprimer : Après le sida, le virus de l'hépatite C infecte aujourd'hui près des trois quarts des toxicomanes. Face à cette urgence médicale, il n'est plus temps de punir, mais de soigner et de protéger |
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| 610 | _aSCIENCES | ||
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_aTN _bBIB.CEC _c20090410 _gUNIMARC |
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